Dans le domaine de la psychiatrie, plusieurs troubles du sommeil peuvent apparaitre. Dans des situations où le patient est touché par de l’anxiété ou une dépression, le sommeil se trouve atteint. Un trouble du comportement chez l’adolescent, une personnalité pathologique, des psychotiques peuvent être à l’origine d’insomnies ou d’hypersomnies, de cauchemars, de parasomnies etc...
Ces symptômes influent le sommeil et peuvent entrainer des dérèglements psychiatriques. L’insomnie est le premier symptôme de la dépression qui va suivre.
L’insomnie dépressive est généralement liée à un événement important, un décès, un licenciement, une naissance etc...
Cette dépression peut survenir brutalement (les patients arrivent à notifier le jour du début) ou s’installe de façon plus insidieuse. Souvent, dans ce genre de situation, une succession de nuits blanches aboutissent par la suite à une insomnie dans la deuxième partie de la nuit et parfois un ré-endormissement le matin.
Remarques du sommeil d’un dépressif :
L’hypersomnie dépressive
est souvent précédée d’insomnies dépressives. Elle survient lorsque l’épisode dépressif guérit. Le sommeil n’est pas vécu comme récupérateur alors qu’il peut être tout à fait continu. Le lever est difficile, sans cesse retardé, et dans la journée la personne a envie de rester couchée ou de faire des siestes.